Premières expériences et engrenages : Chapitre 69 : Un cadeau épineux

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy
il y a 1 an

Chapitre 69 : Un cadeau épineux

Je réajustai à nouveau ma robe. Quelques pas suffisaient à la relever. M’habituant peu à peu aux chaussures haut talons, je commençai à élargir mes pas, profitant qu’aucune chaîne ne les entravait. Nous avions quitté le centre pavé, douloureux à mes chevilles, et nous nous dirigions vers le quartier commercial.

Je remarquai que les hommes avaient leurs regards attirés par notre groupe et finissaient immanquablement à se fixer sur moi. Conformément aux ordres, je leurs souris et beaucoup d’entre eux me répondirent. J’entendis même deux ou trois couples se disputer juste derrière nous.

  • Avons-nous prévu beaucoup de magasin, demandai-je alors que je sentais le regard d’un homme, caché par un panneau de bus, plus captivé, me fixer.

  • Un seul me répondit Ladyscar, le voilà.

Une boutique de lingerie nous fit face. Un panneau y avait été accroché : Inventaire, réouverture vers seize heures. Je m’étonnais plus de ce panneau que de l’absence de déception des maîtresses. Fermer le samedi après-midi, dix jours avant noël, même pour quelques heures, ce n’était pas commercial. Et puis, que signifiait un inventaire en après-midi. Je n’eus pas le temps d’analyser la situation que Maîtresse Diane poussait la porte et que nous entrions toutes les cinq. Il était juste quatorze heures passées.

  • Bonjour, nous accueillit une vendeuse. Vous êtes les bienvenues.

Je compris qu’il s’agissait d’un subterfuge pour bénéficier de la boutique à titre privée. La richesse amenait des droits que le commun des mortels ne pouvait ne serait-ce que concevoir l’existence.

  • Nous avons beaucoup de vêtements à choisir. Cela va prendre du temps. Pouvez-vous vous occupez d’elle ? demanda lady Christine en me désignant.

  • Otez votre robe, nous allons prendre vos dimensions, dit-elle d’un ton démentant ses paroles.

Deux autres vendeuses apparurent depuis l’arrière-boutique. Elles étaient toutes plutôt jeunes, pour être seules à diriger un magasin. Vingt-cinq ans, maximum, pas plus ! Elles étaient jolies. Cela devait aider à attirer la clientèle masculine et faciliter les ventes. Elles m’entrainèrent vers l’arrière, en face des cabines d’essayage, au milieu des miroirs. Je retirai ma robe, pensant qu’elles seraient surprises de me découvrir en homme, mais il n’en fut rien.

Soient elles avaient reconnu la sissy que j’étais, soient mes maîtresses les avaient plus probablement informées de ma venue.

  • Elle a de jolis secrets, dit l’une d’elle en me caressant les couilles douloureuses que les poids avaient étirées et descendues.

Une pointe d’excitation et des dizaines d’autres pointes s’enfoncèrent dans mon sexe. Lady Christine alluma de nouveau le courant électrique dans une position basse, vibrante et excitante, m’obligeant à me trémousser devant ces trois femmes.

  • C’est ton cadeau, me dit Ladyscar, me montrant les vendeuses qui se déshabillaient maintenant devant moi.

Gonflé au maximum, mon sexe se gondolait entre les barreaux. Elles étaient si jolies, si accessibles, si bandantes. Elles étaient trois. L’une d’elle plongea au milieu de mes bras, se serrant contre moi, poitrine contre poitrine, la frottant, la massant. Elle posa sa bouche sur mes lèvres tandis que je sentais presque les barreaux de cette cage épineuse se tordre sous la pression. Elle m’embrassait. D’abord cela ressemblait au baiser que ma maîtresse m’avait offert, puis il devint plus affamé, plus violent, plus sauvage.

Elle appuyait de tout son corps contre le mien. Avec mes chaussures haut talons, je ne résistai pas, reculai, trébuchai avant qu’une autre des vendeuses, nue également, se colla derrière moi s’opposant en direction, s’équilibrant en force avec la poussée frontale. Je sentais également sa poitrine se frottait sur mon dos.

Nom de Dieu ! Otez-moi donc cette cage ! voulus-je hurler, si ma bouche n’était pas ensevelie sous les coups de langue de l’affamée. Elle se frottait maintenant à ma cage, sans considération pour ma douleur et profitant pleinement des vibrations ménagées que Lady Christine me procurait.

  • Tu es belle, me susurra à l’oreille celle derrière moi. On dirait une jeune pute qui débute, l’œil encore vif. Tu préfères sûrement les bites à nous trois, n’est-ce pas ? Maîtresse Diane nous a dit que tu savais y faire avec les hommes. Une grosse gourmande de sperme ! Tu affectionnes son goût ! L’avoir en bouche ! Tu voudrais en saucer, tout ce que tu manges, plus qu’avec du foutre féminin.

Elle continuait à me parler avec ce langage cru, m’accusant d’être plus attirée par les hommes que par elles au grand bonheur de Lassie, alors qu’avec leur corps, elle continuait à me caresser. Le pire, c’est que mes bras libres s’étaient dressés en l’air en position de soumission, ne cherchant pas à profiter de cette absence d’entrave.

Soudain, de deux, elles passèrent à trois. Libérant un peu de mon côté gauche, les deux premières femmes se décalèrent, dégageant de l’espace à la troisième. Mais enlevez-moi donc cette cage ! hurlai-je à nouveau intérieurement alors que ma langue, toujours otage de la première bouche cherchait à se libérer.

A peine sur le côté la dernière libérée prit mon bras et descendit ma main sur sa chatte foisonnante, indiquant à mes doigts, le sentier dans la forêt, les guidant jusqu’aux sources, ne les lâchant pas de peur que si je m’y éloigne, je ne retrouve le chemin.

Ses seins entouraient mon bras et se massaient avec. La seconde femme, maintenant décalée derrière moi, hasardait sa cuisse, appuyant le fond du plug, déplaçant les quatre boules, touchant un point sensible, inexploré, accélérant la cadence et mon excitation. Je fermai un instant les yeux. Pouvait-on jouir du cul ? Cette cage avait intérêt d’être construite en titane !

Une main m’empoigna les couilles. De laquelle provenait-elle ? Je ne le savais pas. Cela avait-il de l’importance ? Non !

D’autres me câlinaient le corps. Ma seconde main libre attrapa un sein et commença à le caresser. Je m’attendais à avoir pris trop de liberté, qu’on me l’enlève, mais sa propriétaire souscrivit à mon initiative. Je ne savais où me concentrer, entre mains et bouche. Lady Christine augmenta la tension de la cage.

La vendeuse, me faisant face, en perçut aussi l’intensité. Elle dut s’arrêter de m’embrasser et profiter de l’orgasme s’augurant. Cette cage et surtout ses pointes continuaient à m’empêcher de la suivre dans cet état. J’aurai eu sur moi ces grandes pinces monseigneur, je couperai ce cadenas.

Mes mains poursuivaient leurs caresses alors que je baissai la tête, visant la poitrine de la femme en face de moi. Cet état de jouissance, sans possibilité de libération me rappelait la veille au soir quand Ladyscar s’était jouée de moi.

Une bonne demi-heure s’était écoulée quand les maîtresses revinrent vers nous.

  • La petite semble bien à son aise, lança Maîtresse Diane.

  • C’est vrai que la place est plaisante, assura tata Marguerite.

  • Et maintenant, elle est chaude. Nous aurions tort de ne pas en profiter également, compléta Ladyscar.

Les quatre maîtresses commencèrent à se déshabiller. Je crus qu’elles en avaient après moi. Déjà dépassée par trois, je ne saurais comment répondre à toutes ces dames, m’inquiétai-je avant de comprendre.

C’était aux vendeuses que leurs intentions étaient portées.

j'adore 💕
Trop fort
magnifique
Prochain chapitres sur https://fessestivites.com/recit/198292
Publicité en cours de chargement